Synopsis
Le mal-être d’une ville à travers ses végétaux.
Bien sûr, il y a la rage des pâquerettes, la désillusion du tournesol, la fureur du pétunia, la séquestration des tulipes, la concentration des pensées, l’aliénation des géraniums, mais aussi, il y a l’urbanisme des plate-bandes, la solitude du pot de fleur, la révolte des mauvaises herbes, la déliquescence du pissenlit, la paranoïa du gazon, l’intégration des bacs à fleurs, la bonzaïsation des espaces verts, sans parler de la castration des haies et de la défonce des parterres. Bref, un bureau paysagé urbain du « botanique ».
Une fiction faite avec du reportage trottoir.
Filmographie
2000 : « Green stress », 9’25